Questions à Serge Leborgne

 

Comment as-tu décroché le rôle ?

Cela a commencé par une audition de danseurs, car à la base je suis danseur depuis longtemps, ça a bien marché. A la fin de l’audition, j’ai prévenu Redha, qui est metteur en scène et chorégraphe, que je chantais aussi. Il a pensé qu’il y avait un petit rôle à combler donc il me l’a proposé, je suis allé auditionner et le soir même on m’a dit : « Le poète, c’est pour toi. »

 

Que ressens-tu lorsque le public t’applaudit sur scène ?

Au départ, c’est un peu spécial car moi je n’avais pas l’habitude de chanter avec des oreillettes. On est un peu dans notre bulle, on n’a pas vraiment la réaction immédiate du public. Mais sinon, à part ça, c’est sur qu’un mur de 4 000 personnes voir plus tous les soirs, ça fait plaisir. On se dit qu’on a travaillé pour et c’est cela notre récompense.

 

Réponds-tu de temps en temps au courrier des fans ?

Comme je n’en ai pas beaucoup, cela me permet de répondre aux fans qui m’écrivent.

 

Comment trouves-tu la tournée en province ?

Un peu difficile car j’ai du laisser ma femme et ma fille de 11 mois à la maison. C’est un peu difficile mais bon, on s’y fait. Comme on rentre assez fréquemment à la maison, la séparation est moins longue.

 

Ce n’est pas trop difficile de se mettre dans la peau de ton personnage ?

C’est un apprentissage, c’est à dire au fur et à mesure des répétitions, on trouve des choses, de nouvelles postures, de nouvelles expressions. Cela se fait petit à petit en fait, et ça se fait encore spectacle après spectacle, rien n’est acquit. Donc, on trouve de nouvelles choses tous les soirs, on cherche, on cherche tout le temps.

 

Qu’aimerais-tu recevoir de tes fans ?

Je reçois des petits mots, je reçois des compliments et c’est suffisant pour moi. Tout va bien avec ça.

 

 

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