Miss, avril 2001
Dans Roméo et Juliette, il est Benvolio. Joint par téléphone
dans sa loge du Palais des Congrès peu avant le spectacle, il s’est confié à
Miss…
Dans « Une femme d’honneur » que diffuse TF1, tu es le gendarme Cluzeau. Un rôle mis au placard ?
Pas du tout ! Il est seulement entre parenthèses. En ce moment, Roméo et Juliette me prend tout mon temps. J’espère pouvoir me libérer, si la production le veut bien, en avril ou en mai pour rempiler.
Roméo et Juliette triomphe. Te reste-t-il du temps pour regarder la télé ?
Pour être honnête, je me sers d’avantage du magnétoscope que de l’antenne. C’est quand même du « remplissage » à 80%. Heureusement, la 5ème et ARTE permettent encore de découvrir des choses. Mais le fait est que j’aime « On ne peut pas plaire à tout le monde » de Marc Olivier Fogiel, et des émissions comme « Capital » sur M6.
Quel est ton pire souvenir télé ?
Probablement quand je tournais dans la série « Extrême Limite ». On tournait l’hiver, mais l’action était censée se passer l’été. J’étais grippé en permanence… On se retrouvait à 6 heures en petit slip de bain en plein mistral alors qu’il faisait 8° !!! C’était assez pénible (rires)…
Le meilleur ?
Pendant l’enregistrement de l’émission « Noël ensemble » avec Pascal Obispo, j’ai eu la chance de rencontrer l’une des idoles de mon enfance : Henri Salvador. Il m’a pris dans ses bras, et cela m’a énormément touché.
Il t’arrive d’être aussi derrière la caméra…
Exact, je suis aussi réalisateur. J’ai réalisé un court métrage et j’ai aussi mis en scène 4 spectacles, dont l’un, « Les Insolistes », a été joué à Avignon l’année dernière. D’ailleurs, savez-vous qui tenait l’un des rôles principaux ?
Non…
Pablo Villafranca, des « Dix Commandements ! »
Ton agenda est pratiquement rempli jusqu’en 2002 par Roméo et Juliette. Et après ?
Je recommence à écrire. J’ai des projets de séries, envie de réaliser un long métrage… J’ai même des idées de comédie musicale !